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Risultati per Tag 'Francia'.
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Ristrutturazione. Cosa c’è dietro l’intercapedine del vecchio muro. Vuoto? Apriamo. 239 monete d’oro. E ora che si fa? E’ stato durante i lavori di ristrutturazione di un vecchio edificio, nel Finistère, in Francia. Tre operai sono al lavoro quando si accorgono della presenza di una cavità nel muro, tra le pietre. La forzano e trovato un tesoro che risale al 1700, chiuso in una scatola di metallo. Monete d’oro che l’antico proprietario di casa nascose e che poi non riuscì più a recuperare. Naturalmente, di questo segreto, non rese partecipi i propri familiari. E’ il tesoro è rimasto in un buco per centinaia d’anni. Così l’oro è finito nelle mani dei nuovi proprietari dell’edificio: un totale di 239 monete d’oro coniate durante i regni di Luigi XIII e Luigi XIV. Le monete sono state vendute dalla casa d’aste Ivoire Angers per un milione di euro, cosa possibile, in Francia ma – attenzione – non in Italia. Nel nostro Paese, infatti, tutto ciò che viene ritrovato sotto terra o nei muri non è del proprietario del terreno della casa o del campo, ma è dello Stato. Be’, un po’ triste. Che ne dite? Comunque sia i soldi in moneta corrente ricavati dal tesoro del maniero sono stati divisi in due parti uguali: una metà è andata ai tre operai-artigiani che hanno trovato materialmente il tesoro e l’altra metà ai nuovi proprietari del luogo, una coppia, che aveva acquistato l’edificio e che aveva commissionato i lavori di ristrutturazione. Dimenticavamo di dire che altre monete d’oro sono poi state trovate sotto una trave, avvolte in un panno. Una delle monete trovate nel maniero e messe all’asta ad Angers “La scatola era incastonata nel muro, incuneata tra le pietre” – dice François Mion, 63 anni, il proprietario, con la moglie, del palazzo. Pochi giorni dopo, “hanno trovato sopra una trave quella che doveva essere una borsa con un secondo lotto di monete”, continua. Sono state scoperte un totale di 239 monete d’oro, tra cui Louis d’or e il doppio Louis d’or, alcune molto rare. Tra questi, “un doppio Louis d’or con frangia lunga, del 1646”, moneta stimata in 15.000 euro. “È molto raro, non ce n’è quasi sul mercato”, osserva Florian D’Oysonville, banditore d’asta a Ivoire Angers, a proposito di questo pezzo che illustra Luigi XIV di profilo con una ciocca che gli cade sulla parte inferiore del collo. Dell’intero tesoro, i ritrovatori hanno tenuto quattro pezzi, in ricordo di un fortuna davvero insperata. https://stilearte.it/ristrutturazione-cosa-ce-dietro-lintercapedine-del-vecchio-muro-vuoto-apriamo-239-monete-doro-e-ora-che-facciamo/ Finistère : ils trouvent des pièces d'or cachées dans un mur et sur une poutre En entreprenant des travaux dans son manoir, ce couple du Finistère ne s'attendait pas à trouver.... un véritable trésor, mis au jour par leurs artisans. 239 pièces datant du XVIIe siècle, cachées à deux endroits différents, qui seront vendues aux enchères à la fin du mois. La rédaction - 07 sept. 2021 à 09:35 - Temps de lecture : 2 min 1 | Exemple de pièces en vente aux enchères, dont celle estimée entre 10 000 et 15 000 euros. Capture d'écran Maison de ventes Deloys A Plozévet, près de Quimper (Finistère), Véronique et François sont propriétaires depuis 2012 d'un beau manoir. En 2019, le couple décide d'entreprendre de gros travaux pour réunir deux bâtiments, une grange et une crèche. Et bingo : les ouvriers qu'ils embauchent, trois artisans tailleurs de pierre, découvrent à l’intérieur d’un mur une boîte en métal remplie de pièces d’or, puis quelques jours plus tard, au-dessus d’une poutre, une bourse contenant l’autre partie du trésor. Quelle histoire pour ce manoir ? La partie la plus ancienne du manoir date du XIIIe siècle. Elle aurait appartenu à une famille de riches commerçants ou exploitants agricoles, l’identité des derniers habitants connus du manoir remontant au milieu du XVIIIe siècle. La région a prospéré grâce au commerce et à la pêche. Jusqu'à 15 000 euros pour une pièce Au total, le trésor est constitué de 239 pièces d’or frappées sous le règne de Louis XIII (23 pièces) et Louis XIV (216 pièces). Il sera vendu aux enchères à la fin du mois par la maison de ventes Ivoire Angers/Deloys. La plus ancienne pièce date de 1638 et la plus récente de 1692. Parmi elles figurent plusieurs petites pépites : un Louis d’or à la Croix des Templiers (estimation à 8 000/12 000 euros) et un double Louis d’or à la mèche longue (estimation 15 000 euros). Pour cette pièce, il n'existe que 120 exemplaires répertoriés au total, rappelle Le Télégramme. Louis d'or à la croix de Templiers - 1640 - 6,75 g. Estimation : 8 000 à 12 000 euros. Double Louis à la mèche longue 1646 P Dijon, 13,46 g. Estimation : 10 000 à 15 000 euros. D'autres trésors retrouvés par hasard Cette belle découverte n'est en fait pas si rare. Il y a eu par le passé de jolies histoires de trésor : par exemple, après une longue procédure de justice de 5 ans, un jeune ingénieur suisse a finalement obtenu récemment 19 pièces d'or sur les près de 5 700 qu'il avait découvertes sur un chantier à Saint-Prex, dans le canton de Vaud, en 2016. On se souvient aussi de ce dessin historique d’Henri Matisse, recherché depuis 1948 et vendu aux enchères en juin dernier, retrouvé alors qu'il traînait chez une dame, sur une armoire, dans le sud de la France... Ou alors, fin août, un habitué de la pêche à l'aimant a récupéré au fond du canal de Neuville-sur-Escaut, dans le Nord, deux coffres très abîmés dont l'un était composé d'objets de grande valeur : une montre Cartier datant de 1982, une montre Bulgari et des pièces remontant parfois aux années 1960. On pourrait penser que ces pièces cachées sont le fruit d'une épargne. Frappées dans 19 villes différentes, elles ont toutes été authentifiées par le Service Régional d’Archéologie Préventive, mandaté par le Préfet du Finistère. Le fruit de la vente, dont le total est estimé autour de 250 000/300 000 euros, sera partagé en deux : moitié pour les trois artisans, dont l’un est Compagnon du Devoir, moitié pour les propriétaires, indique encore la maison de ventes sur son site Internet.
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Située au nord-est de l’agglomération avignonnaise, la fouille a été prescrite par le service régional de l’Archéologie (Drac Provence-Alpes-Côte d’Azur). Une première phase de fouille, menée par le SADV (sous la direction d’Émilie Fencke) au printemps 2023 sur une bande de 7000 m2 jouxtant l’emprise à l’ouest, a permis la découverte d’implantations humaines selon une chronologie identique. Plus de mille faits archéologiques ont été identifiés au terme de la phase de décapage mécanique sous un recouvrement oscillant entre 0,40 et 0,80 m. Les études spécialisées étant en cours, les déterminations chronologiques sont susceptibles d'être révisées et n’ont pas un caractère définitif. Le premier âge du Fer L’occupation protohistorique du site d’Entraigues-sur-la-Sorgue se dissémine sur l’ensemble de la zone décapée, avec des pôles qui semblent se détacher au sud et au nord de l’emprise. Cette occupation est essentiellement matérialisée par des structures en creux (fossés, fosses, puits), mais également par des foyers et soubassements de murs aménagés avec des blocs calcaires. Malgré une vision encore partielle au sortir de la phase terrain, la présence d’habitats groupés de plaine semble très probable. Le mobilier archéologique mis au jour, avec des vases non tournés, des céramiques grises monochromes, des céramiques à pâte claire et amphores massaliètes, des vases de stockage et des restes fauniques, vient conforter cette hypothèse. De même, la découverte récurrente de briques en terre crue dans la dizaine de puits mis au jour, laisse envisager une occupation pérenne et d’envergure, dissipant une vision cantonnant les installations régionales du premier âge du Fer aux sites de hauteur. Ces habitats de plaine seront mis en perspective avec les fouilles de l’oppidum du Mourre de Sève, également actif au premier âge du Fer et distant de deux kilomètres seulement au nord-ouest de notre emprise. Puits de l'âge du Fer. © T. Mallet, SADV L’Antiquité tardive Les vestiges datés de l’Antiquité tardive sont plus diffus et se rencontrent majoritairement à l’ouest de la zone fouillée avec quelques structures, dont un fossé et plusieurs fours. L’opération conduite par le SADV lors de la première phase de fouille a été plus prolixe en vestiges de cette période, avec notamment un petit pressoir. Bien que furtives sur cette opération, les structures de l’Antiquité tardive offrent un trait d’union avec l’occupation mieux représentée du haut Moyen Âge. Cette continuité pourrait illustrer les mutations de l’habitat entre l’Antiquité et le haut Moyen Âge, phénomènes mal documentés bien que relevant d'un changement socio-économique fondamental. Le Moyen Âge Le gisement médiéval correspond essentiellement à des silos (plus de 450 recensés), mais aussi des fours et des puits, et sont rencontrés sur l’ensemble de l’emprise, avec une concentration impressionnante au centre et au nord de la fouille. Les silos consistent en des fosses creusées dans le sol pour abriter, selon toute vraisemblance, des récoltes céréalières en les préservant de l'air et en empêchant la croissance de moisissures, de microorganismes dégradants et les dommages causés par les rongeurs. Afin de garantir l’étanchéité et maintenir l'intérieur du silo dans des conditions anaérobies (absence d'oxygène), des dalles ou « bouchons » étaient disposés au sommet des structures. Pour faciliter leur identification et leur localisation, des monticules de pierres formant des petits tertres ont apparemment été utilisés. Malgré la densité importante des silos, on note un taux de recoupement particulièrement faible qui induit une connaissance à la fois des silos en activité mais aussi de ceux comblés qui n’étaient donc plus en fonction. Concernant les silos désaffectés, un premier comblement est souvent constitué de rejets cendreux qui font place à une obturation qui semble rapide avec un remplissage de sédiment ou de pierres. Comblés de matériaux de rejet ou abandonnés encore en fonctionnement, ces structures de stockage fournissent de nombreux éléments de réflexion. Les silos, comblés après utilisation, révèlent des assemblages matériels (notamment en faune et en céramique) essentiels pour cerner la chronologie interne de l’occupation. La préservation de certains matériaux végétaux (graines, charbons de bois, pollens, etc.) ouvre la perspective d’une reconstitution du paysage ancien. Elle rend en outre possible la détermination des approches agricoles, en particulier les variétés cultivées et d’envisager des projections de rendements. À ce jour, les recherches laissent transparaître un aménagement de ces structures à partir du VIIe ou VIIIe siècle, et une période d'activité au cours des siècles suivants avant d'être apparemment abandonnées au cours du Xe ou XIe siècle. Restes faunique dans le comblement supérieur d'un silo médiéval. © Maeva Serieys, SADV Ces aménagements nombreux contribuant à la sécurité alimentaire d’un groupe humain induisent inévitablement la présence d’habitats à proximité. Un cimetière alto-médiéval fouillé en 1987 par le SADV sous la direction de J.M. Mignon à quelques centaines de mètres au nord de cette fenêtre exploratoire, au lieu-dit Le Clapier, laisse présager l’implantation d’une communauté relativement importante. Les sépultures Trois sépultures périnatales en amphore ont été mises au jour. L’utilisation de ce type de récipient servant de réceptacle aux restes du défunt en bas-âge est un phénomène bien attesté en Narbonnaise. Dans les trois cas, l’amphore a été aménagée, sciée au niveau des épaulements et réassemblée pour réaliser un coffre. Des amphores africaines ont ici été utilisées, il s’agit de contenants omniprésents dans les provinces de la Méditerranée orientale entre le IIIe et le VIIe siècle, dont le module ici utilisé convenait parfaitement à l’inhumation de périnataux. Aucun mobilier n’étant associé à ces sépultures leur rattachement chronologique n'est pas pour le moment assuré. Sépulture périnatale en amphore. © Catherine Rigeade, Inrap https://www.inrap.fr/des-vestiges-du-premier-age-du-fer-au-haut-moyen-age-entraigues-sur-la-sorgue-17809 Un’antica “culla” nell’anfora tagliata. A quando risale. Cosa stanno trovando gli archeologi nella pianura del penitenziario Prima degli interventi edilizi per la realizzazione di un centro penitenziario, un team dell’Inrap, con il Servizio Archeologico Dipartimentale del Vaucluse (SADV), ha scavato un’area di 1,2 ettari, portando alla luce resti della prima età del ferro, un’occupazione continua dalla tarda antichità all’alto medioevo e tre tombe di neonati, collocati – come avveniva nell’Impero romano e nel primo Medioevo – in anfore tagliate a metà. Entraigues-sur-la-Sorgue – luogo in cui sono avvenute queste scoperte – è un comune di 7.812 abitanti situato nel dipartimento della Vaucluse della regione della Provenza-Alpi-Costa Azzurra. Sepoltura perinatale in anfora © Catherine Rigeade, Inrap “Sono oltre mille i reperti archeologici individuati al termine della fase di scavo meccanico sotto una copertura variabile tra 0,40 e 0,80 metri. Essendo in corso gli studi specialistici, le determinazioni cronologiche sono soggette a revisione e non sono definitive”. affermano, in queste ore, gli archeologi dell’Inrap. Dell’epoca protostorica – prima Età del Ferro – sono stati portati alla luce fossati, fosse, pozzi, focolari e basamenti edilizi, nonché vasi non torniti, ceramiche monocrome grigie, ceramiche a pasta chiara e anfore Massaliet. Questo tratto di pianura fu abitato per lungo tempo. “Sono state rinvenute tre sepolture perinatali in anfore – affermano gli archeologi dell’Inrap – L’utilizzo di questo tipo di contenitore che funge da ricettacolo per le spoglie dei defunti, nella primissima età di vita, è un fenomeno ben attestato a Narbonnaise. In tutti e tre i casi l’anfora fu segata verticalmente e rimontata per formare una cassa. Qui venivano utilizzate anfore africane. Si tratta di contenitori onnipresenti nelle province del Mediterraneo orientale tra il III e il VII secolo, il cui modulo qui utilizzato si adattava perfettamente alla sepoltura di neonati. Poiché a queste sepolture non è associato alcun corredo, la loro connessione cronologica non è ancora certa”. Per quanto concerne il periodo medievale, nell’area sono stati trovati più di 450 silos per la conservazione di derrate, ma anche forni e pozzi. Un silo medievale, visto in sezione. Scavato nel terreno e utilizzato per contenere il grano, la cavità era isolata, sul fondo, da un letto di pietre e coperta da un sasso piatto che fungeva da tappo © Alexandre Ayasse, Inrap “I silos sono costituiti da fosse scavate nel terreno per ospitare, con ogni probabilità, i raccolti di grano, proteggendoli dall’aria e prevenendo la crescita di muffe, microrganismi degradanti e danni da roditori. – spiegano gli archeologi dell’Inrap – Per garantire la tenuta all’acqua e mantenere l’interno del silo in condizioni anaerobiche (assenza di ossigeno), alla sommità delle strutture sono state poste delle lastre o “tappi”. Per facilitarne l’identificazione e la localizzazione, pare siano stati utilizzati cumuli di pietre che formavano piccoli cumuli”. “Ad oggi – prosegue l’Inrap – le ricerche rivelano uno sviluppo di queste strutture a partire dal VII o VIII secolo , ed un periodo di attività nei secoli successivi prima di essere apparentemente abbandonate nel corso del X o XI secolo". https://stilearte.it/unantica-culla-nellanfora-tagliata-a-quando-risale-cosa-stanno-trovando-gli-archeologi-che-scavano-nella-pianura-del-penitenziario/
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Nuove raffigurazioni Francia 2024
ARES III ha risposto a un topic di pato19 inviato in Altre discussioni relative alle monete in Euro
“Centesimi non conformi alle norme Ue”, la Francia costretta a buttare una montagna di monete nuove di zecca I dirigente della Commissione hanno bocciato il nuovo design perché le stelle della bandiera Ue non si vedevano abbastanza sul profilo del continente, e quindi non erano conformi - Una montagna di centesimo di euro passati alla discarica. E' l'incredibile storia avvenuta alla Monnaie de Paris. La Zecca dello Stato francese doveva presentare a dicembre le nuove monete da 10, 20 e 50 centesimi che sarebbero entrate in circolazione con l'anno nuovo. Tutto era pronto. Le monete erano state battute a novembre e il ministro dell'Economia e della Finanze aveva già segnato in agenda l'evento. Solo che qualche giorno prima della cerimonia è arrivata una comunicazione che ha bloccato tutto. I dirigenti della Commissione europea, che vigila sul rispetto degli standard per le monete dell'euro nazionali, hanno infatti bocciato il nuovo design perché le stelle della bandiera Ue non si vedevano abbastanza sul profilo del continente, e quindi non erano conformi. 27 milioni di monete da ribattere Un brutto pasticcio che ha portato la Monnaie de Paris a dover ribattere 27 milioni di monete nuove di zecca. Un incidente che non è solo rappresenta una figuraccia per la Francia ma è anche un danno economico. Il costo è stimato tra 700mila e 1,2 milioni di euro secondo la stima da Lettre A, il sito che ha svelato per primo la notizia. Nel ricostruire l'incidente si è scoperto che la Monnaie de Paris aveva inviato a Bruxelles il nuovo design ma ha cominciato a battere le monete senza aspettare l'approvazione ufficiale. E anzi, secondo alcune fonti governative, avrebbe anche ignorato una comunicazione informale che allertava su un disegno delle nuove monete non conforme, in particolare per quanto riguardava appunto le stelle dell'Ue. “Dopo le nuove monete da 1 e 2 euro all'inizio del 2022, è stato deciso e approvato il cambio delle monete da 10, 20 e 50 centesimi di euro” ha spiegato la Monnaie de Paris. “I disegni sono stati presentati senza problemi alle autorità francesi alla fine dell'estate 2023 e approvati ma la procedura è stata insolitamente lunga presso la Commissione europea. Abbiamo quindi anticipato la produzione, ma il 1 dicembre, contro ogni previsione, l'Europa ha respinto il disegno”. "Un errore deplorevole” La Monnaie de Paris produce ogni anno 1,4 miliardi di monete. L'istituzione riconosce un "errore deplorevole" ma sottolinea che l’incidente sui nuovi centesimi di euro rappresenta appena il 2 per cento di quanto viene prodotto in un anno. La Zecca francese ha una sua indipendenza amministrativa rispetto al ministero dell'Economia e dovrebbe comunque assumersi i costi supplementari per coniare di nuovo le monete. Nel frattempo infatti il disegno è stato corretto e approvato prima di Natale dalla Commissione. La produzione è in corso e le monete entreranno in circolazione in primavera. Questa volta di sicuro le stelle dell’Ue brilleranno. https://www.repubblica.it/esteri/2024/01/12/news/francia_centesimi_euro_non_conformi_buttati-421867593/ -
Une abbaye bénédictine La place de l’abbaye à Baume les Dames est établie cœur d’un ancien enclos abbatial. Elle est ceinturée par des bâtiments édifiés entre le XVe siècle et le XVIIIe siècle : l’église abbatiale construite entre 1758 et 1781 (et dont la nef est demeurée inachevée) au nord-est, le logis abbatial et ses dépendances au nord et à l’ouest, et les maisons de chanoinesses au sud. Les sources historiques les plus fiables permettent de placer la fondation de cet établissement au plus tôt au VIIIe siècle. Les données historiques disponibles sur l’établissement conventuel sont toutefois relativement pauvres jusqu’au XVe siècle. Les procès-verbaux de visite de contrôle du bâti de l’abbaye, rédigés à la suite du décès des abbesses, offrent en revanche de précieuses informations pour les siècles suivants. Deux églises abbatiales antérieures à l’édifice actuel Les plans partiels de deux églises successives, antérieures à l’église abbatiale édifiée au XVIIIe siècle ont été mis au jour dans l’axe de sa nef, à l’ouest. L’édifice le plus ancien était doté d’une nef unique, large dans l’œuvre de 9,30 m, et close par des murs épais d’au moins 1,20 m. Des sépultures ont été mises au jour aux abords extérieurs, dont l’une datée par radiocarbone entre 1032 et 1202. Cette probable église est assurément antérieure au XIIIe siècle, période où elle est détruite, pour permettre la construction d’une nouvelle église abbatiale composée cette fois d’une nef principale et de deux collatéraux, larges de respectivement 9,50 et 5 m, séparés par des piliers assis sur les fondations de l’édifice antérieur. Un clocher-porche précède la nef principale à l’ouest. Un procès-verbal de visite de l’église daté de 1725 indique que « l’on descend cinq marches d’escalier à ce portail [= porche], d’où l’on entre dans l’église ». De fait, le sol de l’église du XIIIe siècle, dont un lambeau pavé a été dégagé, se trouve 1,40 m sous le niveau du sol de l’église du XVIIIe siècle. Une fosse de coulée de cloches a été aménagée dans le courant du XIIIe siècle dans la nef principale. Au sein de cette fosse, dont le comblement était riche en résidus d’alliage cuivreux, a été observée la base de deux noyaux de cloche en argile jaune, de 0,51 et 0,80 m de diamètre. Aux abords de la nef, à l’ouest, une aire funéraire est établie. Sa période de fonctionnement reste à préciser mais ne semble pas s’étirer au-delà du XVIIe siècle, voire du XVIe siècle. L’église du XIIIe siècle a subi des réfections dont la datation reste à préciser. Elle a été détruite en deux temps (sanctuaire puis nefs) dans le courant du XVIIIe siècle pour laisser place à l’édifice actuel, dont la nef et les collatéraux inachevés épousent le plan. Le cloître Un cloître avec fontaine est attesté au sud de l’église au plus tard au XVIe siècle. De fait, son emplacement est occupé par un dispositif de récupération des eaux pluviales composé d’un puits perdu, parfaitement centré, dans lequel débouchent quatre conduits maçonnés rayonnants. Une fontaine a été adossée contre le mur méridional de l’église entre la seconde moitié du XVIIe siècle et le XVIIIe siècle. En subsiste le socle monolithique associé à un conduit d’évacuation, le massif de fondation du bassin de plan semi-ovalaire, et un sol pavé se déployant alentour. Les remblais liés à l’abandon de cette fontaine, datés au plus tôt de 1792, ont livré un mobilier varié et abondant, dont un fragment de dalle funéraire et des bésicles. Vue des vestiges de la fontaine accolée contre le mur sud de l’église. © Adrien Vuillemin, Inrap Fragment de pierre tombale en calcaire marbrier avec une inscription rehaussée à la feuille d’or. © Philippe Haut, Inrap Des vestiges antérieurs au Xe siècle ? S’ils n’ont été appréhendés que de manière très lacunaire et qu’ils restent en l’état difficiles d’interprétation, des vestiges antérieurs et/ou contemporains de la « première » église ont été reconnus, telles deux fosses à la fonction indéterminée recoupées par la tranchée de fondation de celle-ci. Dans l’emprise du cloître, un trou de poteau et une maçonnerie sont scellés par une couche de remblai datée largement entre le Xe et le XIIIe siècle, tandis que le mur de façade de la « seconde » église est assis sur un mur désaxé. Les études spécialisées qui débutent et les analyses radiocarbones entreprises sur les sépultures et des charbons prélevés dans les liant des maçonneries, permettront de préciser le phasage d’un site au potentiel archéologique remarquable. https://www.inrap.fr/nouvelles-donnees-archeologiques-sur-l-abbaye-de-baume-les-dames-doubs-17720 Scavi nei pressi dell’Abbazia riportano alla luce queste strane strutture. Cosa sono? A cosa servivano? La risposta degli archeologi Nel cuore dell’antica corte abbaziale a Baume-les-Dames – comune francese di 5.374 abitanti situato nel dipartimento del Doubs nella regione della Borgogna-Franca Contea, in Francia-, gli scavi recenti hanno svelato un tesoro nascosto: una splendida fontana risalente al XVI secolo è tornata alla luce. Sul piazzale dell’abbazia si stavano svolgendo operazioni di rinnovo della rete idrica quando all’improvviso gli operai si sono imbattuti in una struttura concentrica di antica datazione. I lavori ai sottoservizi sono stati interrotti e sul posto è giunta l'Inrap che ha attivato un approfondito intervento di studio e ricerca. Questa affascinante scoperta si inserisce nel contesto di un’abbazia benedettina che ha visto la sua fondazione all’incirca nell’VIII secolo, sebbene dettagli precisi sui suoi primi anni siano scarsi fino al XV secolo. Visuale aerea degli scavi © Mickaël Lagache, Inrap La Magnifica Fontana del XVI secolo La piazza dell’abbazia di Baume les Dames è circondata da edifici che abbracciano secoli di storia, inclusa la chiesa abbaziale costruita tra il 1758 e il 1781. Tuttavia, la recente scoperta della fontana risalente al XVI secolo è un vero gioiello storico. Posizionata strategicamente a sud della chiesa, questa fontana ha un fascino intrinseco e rappresenta un punto focale del chiostro con le sue caratteristiche uniche di architettura e ingegneria idraulica. I dettagli delle condutture radiali in muratura che si dipartono dal pozzo a perdere, insieme alla base monolitica e ai resti della vasca semiovale, rivelano un sistema avanzato di recupero delle acque piovane. Il ritrovamento di frammenti di arredo e reperti – come una lastra funeraria – ha fornito ulteriori dettagli sul passato e sulla vita quotidiana legata a questo luogo. Vista delle vestigia della fontana scoperta a ridosso della parete sud della chiesa © Adrien Vuillemin, Inrap Ritrovamenti e Contesto Storico Gli scavi – riporta l’Inrap – hanno portato alla luce non solo la fontana, ma anche tracce delle chiese abbaziali precedenti. Una delle strutture antiche, risalente al XIII secolo, ha rivelato una fossa utilizzata per la fusione delle campane. Qui, sono stati individuati residui di leghe di rame e le basi di due anime di campane in argilla gialla, aggiungendo un altro strato di fascino e mistero a questa scoperta. La fossa di fusione delle fontane, ritrovata durante gli scavi. © Séverine Bacquart Ulteriori reperti archeologici, inclusi resti di costruzioni e sepolture, insieme a tracce di muri e fosse con funzioni incerte, sono stati datati a periodi che potrebbero risalire fino al X secolo. Questi reperti, sebbene di difficile interpretazione, sono oggetto di studi specialistici e analisi radiocarboniche che potrebbero rivelare nuovi dettagli sulla storia antica dell’abbazia. Frammento di pietra tombale con iscrizione in foglia d’oro © Philippe Haut, Inrap Importanza storica e futuro degli scavi L’abbazia di Baume les Dames è un tesoro di storia che si svela gradualmente grazie a questi scavi e alle scoperte recenti. La scoperta della fontana del XVI secolo, sebbene sia il fulcro attuale delle indagini, si inserisce in un contesto più ampio di stratificazioni storiche che abbracciano diversi periodi e stili architettonici. Gli studiosi stanno dedicando tempo ed energie per approfondire la comprensione di questi reperti attraverso studi approfonditi e analisi scientifiche. Le future ricerche, inclusi gli esami al radiocarbonio su reperti e strati murari, promettono di svelare nuovi dettagli sulla vita e sull’evoluzione di questo sito archeologico affascinante e ricco di potenziale. https://stilearte.it/scavi-nei-pressi-dellabbazia-riportano-alla-luce-una-splendida-fontana-del-xvi-secolo-e-svelano-una-fossa-di-fusione-delle-campane/
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Toussaint: scoperta di un laboratorio preistorico del Mesolitico
ARES III ha aggiunto un nuovo link in Rassegna Stampa
Il cambiamento climatico, che meraviglia! La scoperta di un laboratorio preistorico del Mesolitico rivela i pensieri dei nostri antenati Un momento dello scavo archeologico @ Inrap Touissant, Francia, 9 dicembre 2023 – L’archeologia può offrirci tanti spunti per pensare e per superare certi automatismi che ci consegnano a ideologie alimentata da stereotipi. Lo scavo svolto in queste settimane a Toussaint, in Normandia (Francia) ha rivelato principalmente un’occupazione risalente al Mesolitico che si estende da circa 10.000 a 6.000 anni prima della nostra era. “Corrisponde ad un periodo che inizia con la fine dell’ultima era glaciale e che termina con l’inizio delle pratiche agricole e zootecniche (pratiche che segneranno l’inizio del periodo successivo: il Neolitico). Questo è quindi il periodo in cui vissero gli ultimi cacciatori-raccoglitori seminomadi europei”. dicono gli archeologi dell’Inrap, l’istituto nazionale francese delle ricerche archeologiche preventive. Il grande freddo terminava. Brezze tiepide e temporali si abbattevano sull’Europa; i ghiacci si scioglievano, la vegetazione prosperava grazie a a una temperatura più calda, gli animali si moltiplicavano. E in queste condizioni era possibile iniziare a pensare ad orizzonti diversi. Fare viaggi di caccia meno lunghi, pensare di ruotare, durante gli spostamenti stagionali, attorno a luoghi più prosperi, che diventavano, sempre più, casa. Non vagare. La moltiplicazione di piccoli mammiferi offriva nuove opportunità proteiche, a portata di mano. Bastava adattare le punte delle frecce. Più piccole e precise. Bastava anche considerare che certe erbe che tornavano di anno in anno potevano essere coltivate… Un nuovo studio del Dipartimento di Archeologia dell’Università di Tel Aviv, pubblicato alcune settimane orsono, ha scoperto, peraltro, che l’estinzione delle grandi prede, su cui si basava l’alimentazione umana, ha costretto gli esseri umani preistorici a sviluppare armi migliorate per cacciare le piccole prede, determinando così adattamenti evolutivi. Lo studio esamina l’evoluzione delle armi da caccia dalle lance con punta di legno e di pietra, fino ai sofisticati arco e freccia di un’epoca successiva, correlandola con i cambiamenti nelle dimensioni delle prede e con la cultura e la fisiologia umana. “Il quadro paleoambientale e cronologico dei resti mesolitici di Toussaint – dicono gli archeologi dell’Inrap – si inserisce quindi in una fase di profondo cambiamento climatico iniziata circa 13.000 anni fa. La metamorfosi dei paesaggi normanni determina poi la scomparsa della steppa fredda e arida del Paleolitico a favore di una copertura forestale in un clima temperato e umido. Gruppi mesolitici, adattati ai biotopi forestali interglaciali, colonizzarono poi gli altipiani di Cauchois abbandonati durante l’ultimo massimo glaciale. La vicinanza alla zona costiera doveva essere per loro attraente sotto diversi aspetti in termini di risorse animali e materiali (selce). Il paesaggio contemporaneo all’occupazione del sito di Toussaint, all’inizio dell’Olocene, era tuttavia ancora relativamente aperto con foreste rade frequentate da cervi, caprioli, cinghiali e uri. Le scoperte di questo periodo rimangono eccezionali in Normandia ed è in questo raro contesto che si svolgono gli scavi in questo sito”. Un piccolo blocco di selce trovato durante il recente scavo. Gli uomini percuotevano la roccia con punte litiche, conoscendo i punti di frattura della matrice. Sulla pietra sono evidenti, in negativo, le forme dell’utensile o utensili estratti @ Inrap I resti rinvenuti nel sito archeologico di Toussaint sono prevalentemente costituiti da selci scheggiate. Questi frammenti forniscono un’interessante finestra sulla tecnologia di debitage adottata dagli scheggiatori mesolitici, permettendo di studiare i loro gesti, i materiali utilizzati e il contesto di acquisizione della materia prima. Gli archeologi studieranno queste schegge in un lavoro comparativo con altri materiali litici mesolitici trovati nel circondario. Vogliono capire se gruppi diversi agivano in modo tecnicamente simile. Una lama completa trovata tra i consistenti residui di selce dell’accampamento mesolitico francese @ Inrap “I resti rinvenuti corrispondono ad un minimo di sette zone distinte di circa 100 mq ciascuna, indicate dalla presenza di un’industria litica (selce tagliata) nonché di un probabile focolare (impianto realizzato con selce). – dicono gli archeologi dell’Inrap – Il sito rivela spazi che ospitano attività che sembrano ovviamente diverse ma contemporanee. La fase cronoculturale del Mesolitico è particolarmente complessa da comprendere nell’ambito dell’archeologia preventiva. La rarità e le piccole dimensioni dei resti di questo periodo ne rendono difficile la scoperta e il sito di Toussaint è uno dei dieci riconosciuti per la Normandia orientale. Lo sviluppo in questo periodo delle tecniche di caccia con l’arco portò alla comparsa di tutta una serie di nuovi telai per frecce. La volontà di miniaturizzare le punte di selce porta gli scheggiatori ad adattare i propri metodi di scheggiatura in modo da ottenere in modo standardizzato supporti comunemente chiamati lame o lame che possono essere utilizzato come utensili o per realizzare armature in cui incastrare saldamente proiettili”. Una lama di selce completa @ Inrap Il contesto sedimentario, specialmente il pH del suolo in questa parte della pianura, argomentano gli archeologi dell’Inrap, purtroppo non è favorevole alla conservazione dei resti organici, in particolare di materiali ossei. L’assenza di resti ossei impedisce quindi di ottenere informazioni sulla dieta a base di carne dei cacciatori-raccoglitori mesolitici di Toussaint. Per superare questa limitazione, saranno condotte diverse analisi paleoambientali e fisico-chimiche nel tentativo di fornire preziose informazioni sull’ambiente immediato del sito, come la ricerca di sostanze grasse all’interno di specifici tipi di minerali presenti nella zona del focolare scoperto. Se tali analisi avranno successo, si potrà accedere a un ampio spettro di informazioni riguardanti l’origine dei prodotti utilizzati in cucina, che comprendono piante, animali terrestri o marini, e altro ancora. Il campionamento e la setacciatura del sedimento saranno fondamentali per isolare possibili resti di carbone e altre piante, offrendo così dettagli sulle specie di legno impiegate in questo focolare. https://stilearte.it/il-cambiamento-climatico-che-meraviglia-la-scoperta-di-un-laboratorio-del-mesolitico-rivela-i-pensieri-dei-nostri-antenati/ Une halte pour les derniers chasseurs-collecteurs La fouille a principalement mis en évidence une occupation datant de la période du Mésolithique qui s’étale d’environ 10 000 à 6000 ans avant notre ère. Il correspond à une période qui débute avec la fin de la dernière période glaciaire et qui se termine avec le début des pratiques d’agriculture et d’élevage (pratiques qui signeront le début de la période suivante : le Néolithique). Il s’agit donc de la période ayant vu vivre les derniers chasseurs-collecteurs semi-nomades européens. Le cadre paléo-environnemental et chronologique des vestiges mésolithiques de Toussaint s’inscrit ainsi dans une phase de changement climatique profond entamée il y a environ 13 000 ans. La métamorphose des paysages normands se traduit alors par la disparition de la steppe froide et aride du Paléolithique au profit d’un couvert forestier sous climat tempéré et humide. Les groupes mésolithiques, adaptés aux biotopes forestiers interglaciaires, colonisent alors les plateaux cauchois abandonnés lors du dernier maximum glaciaire. La proximité avec le domaine littoral devait leur être attractive à plusieurs titres en termes de ressources animales et de matériaux (silex). Le paysage contemporain de l’occupation du site de Toussaint, au début de l’Holocène, était toutefois encore relativement ouvert avec des forêts clairsemées et fréquentées par des cerfs, chevreuils, sangliers et aurochs. Les découvertes de cette période restent exceptionnelles en Normandie et c’est dans ce contexte rare que la fouille est menée sur ce site. Fouille manuelle par des archéologues. © Inrap Une industrie lithique importante Les vestiges mis au jour correspondent à un minimum de sept zones distinctes d’environ 100m2 chacune, signalées par la présence d’industrie lithique (silex taillé) ainsi que d’un probable foyer (aménagement appareillé par des silex). Le site révèle des espaces abritant des activités semblant manifestement différentes mais contemporaines. D’ores et déjà, cette occupation ouvre un champ d’étude considérable quant à la gestion des matières premières, aux volontés techniques du ou des tailleurs ainsi qu’à l’outillage employé par les humains d’alors. Des comparaisons seront entreprises avec le site fouillé à l’occasion de la construction du centre hospitalier intercommunal de Fécamp, à la Plaine-Saint-Jacques, qui paraît au premier abord très proche du site de Toussaint. La phase chrono-culturelle qu’est le Mésolithique est particulièrement compliquée à appréhender dans le cadre de l’archéologie préventive. La rareté et les dimensions réduites des vestiges de cette période rendent difficile leur découverte et le site de Toussaint est l’un des dix reconnus pour la Normandie orientale. Les vestiges mis au jour se résument exclusivement à des silex taillés. L’industrie lithique permet cependant de documenter la technologie du débitage mis en œuvre par les tailleurs du Mésolithique : leurs gestes, les matériaux et le contexte d’acquisition de la matière première utilisée… Le développement à cette époque des techniques de chasse à l’arc conduit à l’émergence de toute une panoplie de nouvelles armatures pour les flèches. La volonté de miniaturisation des pointes en silex conduit les tailleurs à adapter leurs méthodes de taille afin d’obtenir de façon standardisée des supports appelés communément lames ou lamelles qui pourront être utilisées en tant qu’outils ou servir à la confection d’armatures pour les projectiles. Des analyses paléo-environnementales et physico-chimiques Le contexte sédimentaire, notamment le pH du sol de cette partie de la plaine ne favorise malheureusement pas la préservation des restes organiques et en particulier osseux. L’absence de restes osseux interdit donc tout renseignement sur l’alimentation carnée des chasseurs-collecteurs mésolithiques de Toussaint. Afin de pallier cette situation, un certain nombre d’analyses paléo-environnementales et physico-chimiques seront engagées afin de tenter d’apporter de précieuses informations sur l’environnement immédiat du site (comme la recherche de corps gras au sein de certains types de minéraux présents dans la zone du foyer mis au jour). Si ces analyses fonctionnent, elles donneront accès à tout un spectre de renseignements quant à l’origine des produits portés à la cuisson (végétaux, animal terrestre ou marin…). Le prélèvement et le tamisage des sédiments permettront d’isoler les éventuels charbons et autres restes végétaux potentiellement présents et renseigneront sur les essences de bois utilisées dans ce foyer. Les fouilles conduites sur la commune de Toussaint apporteront des informations inédites sur les populations de cette période encore mal connue qu’est le Mésolithique mais aussi sur l’environnement immédiat à la fin de la Préhistoire. Elles offriront un champ d’étude et de comparaison régional et extra-régional important au regard de la rareté des sites comparables localement. Fouille manuelle par des archéologues. © Inrap Un enclos gallo-romain L’occupation gallo-romaine se singularise quant à elle par une unité foncière délimitée par des fossés enserrant un certain nombre de structures vraisemblablement domestiques (trous de poteaux, fosses de rejets de déchets etc.). Au sein de ces structures, des récipients en céramique nous permettent de déterminer la période d’occupation mais aussi d’obtenir des informations sur les modes culinaires ou encore les influences culturelles que cette unité familiale connaissait à travers l’empire romain (via la provenance de la vaisselle, etc..). https://www.inrap.fr/du-mesolithique-l-epoque-gallo-romaine-decouvertes-archeologiques-toussaint-17691 -
Trovato un recinto funerario dell’età del Ferro con armi, torque, bracciali, fibule
ARES III ha aggiunto un nuovo link in Rassegna Stampa
Trovato durante scavi preventivi un recinto funerario dell’età del Ferro con armi, torque, bracciali, fibule. La storia, i perché Veduta aerea dell’ antichissimo recinto funerario emergente dalla piana e risalente all’Età del ferro @ Crédit: Éveha 2023 Decize, Francia, 6 dicembre 2023 – Un’importante scoperta archeologica ha svelato un antichissimo recinto funerario nel comune di Decize, Francia, risalente alla seconda Età del Ferro, nota periodo noto agli archeologi e agli storici La Tène antico, temporalmente coincidente con il VI secolo a.C. Gli scavi sono stati condotti nelle scorse settimane nell’area agricola denominata Zac du Four à Chaux dallo studio Éveha, sotto la guida di Lucie Christin, nell’ambito di un progetto di sviluppo per l’ampliamento di una zona di attività commerciali, coordinato dalla Comunità dei Comuni del Sud Nivernais. Decize, oggi, è un Comune di 5.980 abitanti situato nel dipartimento della Nièvre, nella regione della Borgogna-Franca Contea, nella Francia centrale.. È attraversato dal fiume Acolin. Il recinto funerario, di forma quadrangolare, misura approssimativamente 25 metri di lato e ospita 16 sepolture risalenti all’inizio del periodo La Tène. Il fossato, che si presenta senza discontinuità ed è scavato con un profilo a V, ha una larghezza massima di 1,70 metri e una profondità di circa 1 metro, rivelando anche la presenza di pali che suggeriscono l’esistenza di una palizzata. Siamo pertanto al cospetto di quello che era un luogo altamente protetto. Qui non accedevano animali e gli uomini potevano entrare – si suppone – da un cancello. Sepoltura in posizione fetale trovata durante gli scavi francesi @ Crédit: Éveha 2023 L’orientamento delle quindici sepolture nella parte orientale del recinto è nord-est-sud-ovest, con un’eccezione notevole rappresentata da una sedicesima sepoltura, scavata integralmente durante la indagine archeologica, caratterizzata da un orientamento perpendicolare all’insieme e dalla presenza di armi che accompagnano il defunto. Alcune sepolture sembrano essere disposte a coppie, senza sovrapposizioni visibili. Corredo tombale con gioielli metallici @ Crédit: Éveha 2023 Gli archeologi francesi sottolineano la varietà nella conservazione delle ossa umane, rendendo difficile definire con certezza le modalità di sepoltura utilizzate. Tuttavia, alcune sepolture mostrano l’uso di casseri in pietra o materiali deperibili, con una diversità nella posizione dei defunti, che possono essere posizionati sulla schiena, sul ventre o sul fianco. Ricchezza e varietà negli arredi funerari Quasi tutte le sepolture comprendono arredi metallici in condizioni eccellenti. In una tomba particolare, attribuita a una figura socialmente importante, sono stati rinvenuti ornamenti in lega di rame di notevole varietà e qualità nella manifattura, tra cui bracciali, torque, fibule e cinture. Gli archeologi sottolineano come questa scoperta contribuirà a migliorare la comprensione delle pratiche funerarie durante il periodo laténiano nel territorio, aggiungendo importanti informazioni a un corpus di piccoli mobili metallici ancora poco rappresentato nella regione. Elementi segnaletici ed elementi architettonici Infine, sette buche di palo sono state rinvenute, di cui tre direttamente collegate alle tombe, suggerendo forse l’uso di elementi segnaletici sul terreno. Due di queste buche di posta, distinte per dimensioni e posizione, collocate a nord e sud nella parte interna del recinto, potrebbero rappresentare elementi architettonici legati allo spazio sepolcrale. @ Crédit: Éveha 2023 Il sito Zac du Four à Chaux è il primo recinto funerario recentemente scavato nel dipartimento della Nièvre. Il suo studio arricchirà le conoscenze sulle pratiche funerarie laténiane nella regione, contribuendo a colmare alcune lacune nel corpus archeologico della zona. La scoperta offre uno sguardo affascinante sulla vita e sulla morte durante la seconda Età del Ferro, aprendo nuovi orizzonti per la ricerca archeologica nella Francia centrale. La denominazione “La Tène” – cultura alla quale appartiene il recinto funerario appena ritrovato – trae origine dall’omonimo villaggio situato sulle rive del lago di Neuchâtel, in Svizzera, dove nel 1857 Hansli Kopp fece una rilevante scoperta: un vasto deposito votivo risalente all’età del Ferro. Questo sito ha restituito oltre 2500 manufatti, prevalentemente in ferro, tra cui spade, scudi, brocche, attrezzi vari e frammenti di carri, oltre a numerose ossa di uomini e animali. La Tène costituisce il sito di riferimento e il termine adottato dagli archeologi per indicare il periodo successivo della cultura e dell’arte dei Celti antichi. La condivisione di un comune terreno culturale è testimoniata soprattutto negli elementi stilistici dei manufatti. Pur essendo ampiamente accettato nel linguaggio comune, il termine presenta diverse sfide interpretative per gli storici e gli archeologi. L’ampia diffusione geografica della cultura di La Tène comprendeva i territori dell’attuale Francia, Belgio, Svizzera, Austria, Inghilterra, Germania meridionale, Repubblica Ceca, Italia settentrionale e centrale, Slovenia, Ungheria, Liechtenstein, nonché parti adiacenti dei Paesi Bassi, Slovacchia, Serbia, Croazia, Transilvania (Romania occidentale) e Transcarpazia (Ucraina occidentale). I Celtiberi nell’Iberia occidentale condividevano diversi elementi culturali, sebbene lo stile artistico non fosse generalmente omogeneo. A nord, la contemporanea Età del Ferro preromana nell’Europa settentrionale comprendeva la cultura di Jastorf nella Germania settentrionale e in Danimarca, estendendosi fino alla Galazia in Asia Minore (oggi Turchia). https://stilearte.it/trovato-durante-scavi-preventivi-un-recinto-funerario-delleta-del-ferro-con-armi-torque-bracciali-fibule-la-storia-i-perche/ DECIZE (58) – ZAC du Four à Chaux Les fouilles menées sur la commune de Decize sur le site de la Zac du Four à Chaux ont été réalisées par le bureau d’études Éveha, sous la responsabilité de Lucie Christin. Elles interviennent dans le cadre du projet d’aménagement de l’extension d’une zone d’activité commerciale, porté par la Communauté de Communes Sud Nivernais. Les investigations archéologiques ont permis de mettre au jour un enclos funéraire du début du second âge du Fer (La Tène ancienne). L’organisation générale de l’enclos De forme quadrangulaire, l’enclos funéraire mesure environ 25 m de côté et comprend 16 inhumations datées du début de La Tène (Fig. 1). Le fossé continu au profil en V mesure au maximum 1,70 m de large pour une profondeur conservée d’environ 1 m (Fig. 2). De plus, la fouille de son comblement a révélé l’existence de poteaux suggérant la présence d’une palissade. http://www.eveha.fr/wp-content/uploads/2023/11/Figure-1.png Fig 1 : Plan du site de la ZAC du Four à Chaux. Crédit : Éveha 2023 http://www.eveha.fr/wp-content/uploads/2023/11/Figure-2.jpg Fig 2 : Vue aérienne du site. Crédit : Éveha 2023 Les inhumations au sein de l’enclos Quinze inhumations d’orientation nord-est sud-ouest étaient réparties dans les deux tiers est de l’enclos. Une seizième sépulture, intégralement fouillée lors du diagnostic, se distingue des autres à la fois par son orientation perpendiculaire à l’ensemble et par la présence d’armes qui accompagnaient le défunt. Certaines sépultures semblent regroupées par deux sans qu’il y ait pour autant de recoupements visibles. La conservation des ossements humains diffère fortement d’une sépulture à l’autre, ne permettant pas toujours de définir avec certitude les modes d’inhumation mis en œuvre (Fig. 3). Néanmoins, certaines sépultures présentent des coffrages en pierres (Fig. 4) ou en matériaux périssables dont certains monoxyles (Fig. 5), alors que d’autres semblent être inhumées en pleine terre. Une certaine diversité a également pu être observée dans la position des défunts parfois sur le dos, sur le ventre ou sur le côté. http://www.eveha.fr/wp-content/uploads/2023/11/Figure-3.jpg Fig 3 : Vue en plan d’une des sépultures. Crédit : Éveha 2023 http://www.eveha.fr/wp-content/uploads/2023/11/Figure-4.jpg Fig 4 : Vue en plan d’une des sépultures avec son coffrage en pierres. Crédite : Éveha 2023 http://www.eveha.fr/wp-content/uploads/2023/11/Figure-5.jpg Fig 5 : Vue en plan d’une des sépultures avec les traces d’un contenant monoxyle. Crédit : Éveha 2023 La quasi-totalité des inhumations comporte du mobilier métallique en excellent état de conservation (Fig. 6). Ce dernier, majoritairement composé de parures en alliage cuivreux est remarquable tant par sa variété (bracelets, torque, fibules, ceinture) que par sa qualité de manufacture. http://www.eveha.fr/wp-content/uploads/2023/11/Figure-6-rotated.jpg Fig 6 : Détail du mobilier métallique découvert dans une des sépultures. Crédit : Éveha 2023 Enfin, sept trous de poteaux ont été mis au jour, dont trois directement en lien avec certaines tombes, impliquant possiblement la présence d’éléments de marquage au sol. Deux de ces trous de poteaux se distinguent par leurs dimensions et leurs emplacements. Situés au nord et au sud en partie interne de l’enclos, ils constituent peut-être des éléments architecturaux en lien avec l’espace sépulcral. Le site de la Zac du four à chaux est le premier enclos funéraire fouillé récemment dans le département de la Nièvre. Son étude permettra certainement d’enrichir et d’affiner les connaissances liées aux pratiques funéraires laténiennes sur le territoire et ainsi étoffer un corpus du petit mobilier métallique encore peu représenté dans la région. https://www.eveha.fr/index.php/2023/11/23/decize-58-zac-du-four-a-chaux/ @Adelchi66 forse questo articolo potrebbe interessarti.-
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Chamboret: Resti di un grande edificio romano di culto?
ARES III ha aggiunto un nuovo link in Rassegna Stampa
Resti di un grande edificio romano – di culto? – collegato alla presenza di una fonte trovati ora in Francia. Monete e ceramiche Un sito religioso romano, risalente probabilmente alla fine dell’Impero è stato portato alla luce in Francia, dopo scavi archeologici preventivi che si sono svolti, durante queste settimane, a Chamboret, un comune francese di 781 abitanti situato nel dipartimento dell’Alta Vienne nella regione della Nuova Aquitania. L’intervento, che è durato due mesi a causa dell’importanza del ritrovamento e dell’area da esplorare, si è svolto nel più stretto riserbo – rispetto a quanto via via emergeva – e ha implicato il blocco temporaneo dei lavori di raddoppio delle corsie della strada nazionale 147 tra Limoges e Bellac. Gli scavi sono stati svolti dagli archeologi dell’Istituto nazionale per la ricerca archeologica preventiva (Inrap). Nell’area sono state trovate monete romane, probabilmente legate alle offerte da parte dei fedeli. Il luogo si è rilevato di particolare interesse poiché qui avrebbe potuto sorgere un santuario collegato a una fonte lustrale, tipico del mondo etrusco-romano, modello che fu ben accolto dal substrato dell’animismo celtico. Tutti i materiali sono in fase di studio. In questi giorni la verifica archeologica prosegue nell’area della fonte. Gli archeologi tracceranno il primo quadro nelle prossime ore. Ma già si può anticipare che l’edificio era possente. Il sito, inizialmente, era contrassegnato dalla presenza di una stalla – realizzata secondo i criteri dell’allevamento che caratterizzava il mondo romano – e di una fattoria. ” A metà del IV secolo, tutto questo edificio fu raso al suolo per edificare qualcosa di più monumentale, con enormi blocchi e un muro a secco largo quasi 2,50 m e che serviva a decorare un’antica sorgente, che esiste ancora e che è attualmente in fase di scavo” , spiega a France 3 Frédéric Devevey, archeologo e responsabile scientifico dell’Inrap. Cosa conterrà questo spazio di sorgente? La mente corre ai recenti ritrovamenti di splendide statue offertoriali etrusco romane, nella vasca del santuario di San Casciano dei Bagni, in provincia di Siena, un luogo in cui, grazie alla presenza di acqua termale calda, si curava il corpo, all’interno di un’area più vasta contrassegnata dalla presenza di luoghi di culto. Secondo l’archeologo, il sito francese è “datato per il momento alla fine dell’antichità, cosa già molto rara nel Limosino. Nella regione sappiamo dell’occupazione romana, ma abbiamo pochissime informazioni sull’inizio del cristianesimo.” Alcuni indizi sono stati rinvenuti nella fonte adiacente, come precisa l’archeologa Amélie Belleli: “Abbiamo rinvenuto in particolare un piccolo oggetto di terracotta un’ “antefissa” che doveva servire come decorazione di un muro (a livello, probabilmente di un tetto ndr.). Rappresenta un volto, forse una divinità non identificata per il momento. Abbiamo trovato anche diverse monete databili praticamente entro cinque anni. Stimiamo di essere negli anni 330-340 d.C., quindi siamo in piena fase di cristianizzazione del mondo romano. https://stilearte.it/resti-di-un-grande-edificio-romano-di-culto-collegato-alla-presenza-di-una-fonte-trovati-in-questi-giorni-in-francia-monete-e-ceramiche/ Découverte d'un site "pour le moment daté de la fin de l'Antiquité, ce qui est déjà très rare pour le Limousin" Pendant deux mois, les travaux du doublement des voies de la nationale 147 entre Limoges et Bellac étaient suspendus sur le secteur de Chamborêt. En cause : la découverte d'un site archéologique, datant de la fin de l'Antiquité. Les fouilles sont désormais terminées et les archéologues évoquent la piste d'un site religieux païen. Un site exceptionnel, datant de la fin de l'Antiquité, a été découvert vers Chamborêt, entre Bellac et Limoges, par des archéologues de l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap). Il est situé à l'endroit où les futures voies de la nationale 147 vont être construites. Les travaux ont ainsi été suspendus pendant deux mois, le temps de mener à bien les fouilles. Une structure monumentale qui interroge D’abord agropastorale selon les archéologues, qui ont mis au jour "une étable typique de la période romaine, ainsi qu'une ferme", la fonction de cette exploitation aurait ensuite évolué. "Au milieu du IVᵉ siècle, tout ce bâtiment est rasé pour mettre en place quelque chose de plus monumental, avec d'énormes blocs et un mur en pierre sèche qui fait presque 2,50 m de large et qui était là pour agrémenter une source antique, qui existe encore et que l'on fouille actuellement", explique Frédéric Devevey, archéologue et responsable scientifique à l'Inrap. Huit semaines de fouilles archéologiques ont été nécessaires pour découvrir un site exceptionnel datant de la fin de l'Antiquité, à Bellac. • © Nassuf Djailani Selon l'archéologue, le site est "pour le moment daté de la fin de l'Antiquité, ce qui est déjà très rare pour le Limousin. Dans la région, on connaît l'occupation romaine, mais on a très peu d'informations sur le début de la chrétienté." « En plein dans la phase de christianisation du monde romain » Les vestiges de cette structure monumentale étaient-ils liés à un culte ? C'est la question que se posent les chercheurs. Quelques indices ont été trouvés dans une source adjacente, comme le détaille Amélie Belleli, archéologue : "On a notamment trouvé un petit objet en terre cuite qu'on appelle un "antéfixe" et qui devait servir de décoration sur un mur. Il représente un visage, peut-être une divinité non identifiée pour l'instant. On a également trouvé plusieurs monnaies que l'on peut pratiquement dater à cinq ans près. On estime qu'on se situe dans les années 330-340 de notre ère, donc on est en plein dans la phase de christianisation du monde romain." Un "antéfixe", qui devait servir de décoration sur un mur, a notamment été découvert lors des fouilles archéologiques dans le secteur de Chamboret. Il représente certainement un visage d'une divinité selon les archéologues. • © France 3 Limousin Pour Frédéric Devevey, "ce serait très intéressant de savoir si cet aménagement assez énorme a un aspect religieux. Dans ce cas-là, cela signifierait que les aspects païens subsistaient un peu, mais là, on reste dans l’hypothèse. Pour le moment, il faut attendre le résultat des études." Un long travail d’analyse attend en effet les archéologues, à partir des données collectées au cours de ce chantier, désormais terminé. -
FRANCIA. Scoperta città romana di servizio attorno alle meraviglie del ninfeo e delle terme, centro di cura e di svago di 2000 anni fa. A Sceaux-du-Gâtinais, prima della costruzione del futuro Museo Segeta, da parte della Comunità dei Comuni delle 4 valli, un team congiunto del Dipartimento del Loiret e dell’Inrap ha esplorato, in queste settimane, parte dell’antico agglomerato situato intorno al santuario delle Aquae Segetae, il santuario delle acque dedicato alla dea Segeta. Lo annuncia l’Inrap stesso, l’istituto nazionale francese per le ricerche archeologiche preventive. Aquae Segetae (nota Aquis Segeste sulla tavola di Peutinger) è un’antica città termale e santuario per i culti primaverili dell’Alto Impero Romano sviluppatosi da un preesistente luogo di culto gallico. I resti dell’insieme formano oggi un sito archeologico situato a Sceaux-du-Gâtinais nel dipartimento del Loiret e nella regione Centre-Val de Loire (Francia). La sorgente termale, come dicevamo, era dedicata alla dea Segeta, dea della Loira e dea del popolo segusiavo, probabilmente divinità alla quale venivano attribuite anche funzioni terapeutiche per la sua associazione con le acque termali. Aquis Segeste comprende il classico insieme di luoghi di culto e cultura gallo-romani incentrati su una sorgente: un santuario che ospita una sorgente sacra, bagni termali e un teatro. Questo sito particolarmente sviluppato comprende anche un isolato urbano, botteghe artigiane, una necropoli e un’area di culto e funeraria. Il tutto si sviluppa su 25 ettari, di cui 15 ettari di superficie urbanizzata. “Questa era una delle cinquantadue città d’acqua dell’Impero Romano, che compare sulla Tavola di Peutinger (antica mappa del XII secolo, trascrizione medievale di un antico documento). – dicono gli archeologi dell’Inrap – Le indagini sul campo confermano alcune ipotesi dello studio con georadar effettuato antecedentemente all’apertura del cantiere e hanno confermato la presenza di alcuni elementi legati al santuario, all’edificio della rappresentazione, ad almeno due templi successivi e al peribolo – il recinto, ndr – dello spazio sacro, nonché come isole di habitat organizzati secondo strade regolari e perpendicolari. Futuri studi forniranno una conoscenza più precisa delle attività degli abitanti: artigianato dei metalli, botteghe alimentari, ecc”. Ciò che colpisce è il numero elevato di cantine a servizio di ogni edificio abitativo. L’ipotesi è che qui venissero stoccati i prodotti che poi venivano immessi sul mercato attorno al santuario, alle terme e al teatro. E’ chiaro che, specie in certi periodi dell’anno, i pellegrini fossero molto numerosi. Per questo la città doveva essere molto organizzata sotto il profilo dell’accoglienza. “In ogni abitazione sono state rinvenute una o più cantine, di diverse dimensioni e modalità costruttive – spiegano gli archeologi dell’Inrap – L’accesso avviene tramite una scala in pietra, posta su un lato o su un angolo dell’edificio. Le finestre -alcune delle quali realizzate come “bocche di lupo”, ndr- forniscono luce e ventilazione e alcune nicchie sono decorate con archi in pietra e mattoni. Queste cantine sono adibite alla conservazione di derrate alimentari e valori personali, come testimoniato dalla loro chiusura attraverso una porta nella parte inferiore. La maggior parte è stata ripulita prima di essere abbandonata, quindi spesso non rimane nulla degli oggetti che ospitavano. Tuttavia, in una delle cantine, brutalmente distrutte da un incendio, sono state rinvenute anfore bruciate, a conferma della loro funzione di deposito”. “Le case trovate durante lo scavo di queste settimane furono costruite in parte con muratura in pietra, in altre parti con un insieme di legname e terra. – spiegano gli studiosi dell’Inrap – Le pareti sono talvolta decorate con intonaco cromaticamente uniforme o dipinte con motivi vegetali o geometrici a bande rosse. Le prime osservazioni rivelano tracce di incendio nella contrada, probabilmente nel II sec. In ogni abitazione sono state rinvenute una o più cantine, di diverse dimensioni e modalità costruttive, l’accesso avviene tramite una scala in pietra, posta su un lato o su un angolo. Le finestre forniscono luce e ventilazione e alcune nicchie sono decorate con archi in pietra e mattoni. Queste cantine sono adibite alla conservazione di derrate alimentari e valori personali, come testimoniato dalla loro chiusura da una porta nella parte inferiore. La maggior parte è stata ripulita prima di essere abbandonata, quindi spesso non rimane nulla degli oggetti che ospitavano. Tuttavia, in una delle cantine, brutalmente distrutte da un incendio, sono state rinvenute anfore bruciate, a conferma della loro funzione di deposito”. https://www.archeomedia.net/francia-scoperta-citta-romana-di-servizio-attorno-alle-meraviglie-del-ninfeo-e-delle-terme-centro-di-cura-e-di-svago-di-2000-anni-fa/
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Abbattono casermette. Lì sotto trovano i resti di un’abbazia benedettina del 1000. I reperti, i chiostri, le sepolture “L’Inrap e il Servizio Archeologico del Consiglio Dipartimentale di Indre-et-Loira stanno attualmente scavando, su prescrizione statale, l’area della vecchia caserma Beaumont. – dice il Comune di Tours, in Francia – E hanno fatto incredibili scoperte. Questi scavi hanno permesso la scoperta dei resti di un’abbazia benedettina fondata quasi 1000 anni fa e distrutta durante la Rivoluzione”. Les fouilles archéologiques menées par l’INRAP sur le site de l’ancienne abbaye bénédictine de femmes sous les casernes Beaumont, à Tours © Ville de Tours – F Lafite L’area di 65.000 m² è stata occupata fino al 2013 da una caserma militare (Regiment d’Application du Train) era costruita sul sito di un ex complesso monastico. La scoperta è stata compiuta dopo l’abbattimento degli edifici militari e dei magazzini, che costituivano una sorta di zona desertica, in città, in previsione di un ampio intervento urbanistico, che sarà realizzato nella formula della co.progettazione con il Comune e i cittadini. Travaux d’aménagement du site des casernes Beaumont-© Ville de Tours – F Lafite . © Ville de Tours – F Lafite Il nome di Beaumont – cioè bel monte – era originario del fatto che nel Medioevo la zona del monastero era un’amena collina che si alzava dalla pianura. Bonifiche e numerosi interventi successivi avrebbero cancellato la differenza di quota. “Conosciuto nelle fonti testuali con il nome di “Belmons” nell’845 e nel 966 (Carte della collegiata di Saint-Martin de Tours), il sito di Beaumont sembra corrispondere a un’occupazione umana raggruppata intorno a una cappella “Notre Dame dei Miracoli”. – spiegano gli archeologi dell’Inrap, l’istituto nazionale francese di archeologia preventiva – Nel 1002, Hervé de Buzançais, tesoriere di Saint-Martin, decise di fondarvi l’Abbazia di Beaumont, un luogo di culto benedettino riservato alle donne. Durante la Rivoluzione, l’abbazia fu dichiarata proprietà nazionale e le monache furono disperse. Acquistato da un commerciante di materiali da costruzione, fu smantellato nella prima metà dell’Ottocento, ad eccezione di alcuni padiglioni e annessi. Dal 1866 al 1913, l’ospizio generale di Tours (attuale ospedale di Bretonneau situato a 650 m a nord-ovest) gestisce il sito dell’ex abbazia di Beaumont e gestisce la proprietà direttamente nell’orticoltura. Nel 1913, lo Stato acquisì il sito di Beaumont per stabilirvi una caserma di artiglieria che sarebbe stata utilizzata come deposito di rifornimenti dall’esercito tedesco prima di diventare la Train Application School nel 1991”. Dagli scavi stanno emergendo le basi dell’abbazia stessa, numerosi reperti devozionali e tombe. https://www.stilearte.it/abbattono-casermette-li-sotto-trovano-i-resti-di-unabbazia-benedettina-del-1000-i-reperti-i-chiostri-le-sepolture/
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Tante scarpe di 2000 anni fa e laboratorio calzaturiero degli antichi romani scoperti vicini a un canale. Era una filiera Una filiera romana composta da un macello, da un centro di conciatura e produzione delle colle, da un laboratorio per la realizzazione di calzature è stata scoperta durante scavi archeologici preventivi svolti dall’Inrap a sud-ovest dell’abitato di Thérouanne, lungo la Via Comunale dell’Abbazia di Saint-Augustin, alla base del versante settentrionale del “Lys”. Scarpe romane scoperte nel canale del “Lys” durante gli scavi di Thérouanne (Passo di Calais) nel 2023. © Dominique Bossut, Inrap Thérouanne è un comune francese di 1.099 abitanti situato nel dipartimento del Passo di Calais, nella regione dell’Alta Francia. La cittadella artigianale romana in cui si macellavano gli animali e si realizzavano scarpe era completata dalla bottega di un vetraio – che realizzava anche piccoli lavori in ferro, tra i quali forse i tacchetti delle scarpe – e, probabilmente da un mulino. Un isolato esclusivamente produttivo, originato dalla presenza di un canale ricavato dal fiume Lys, fondamentale per l’igiene del macello, per lavaggi della conceria e come discarica. L’attività di trasformazione della materia prima di origine animale è testimoniata non solo dai resti delle bestie – macellate sempre con la stessa modalità, secondo un approccio “industriale” – ma dal ritrovamento di numerose scarpe e di ritagli di cuoio, residui della lavorazione delle calzature. Ritagli di cuoio scoperti nel fondo del canale dello scavo di Thérouanne (Passo di Calais), nel 2023. © Dominique Bossut, Inrap La scoperta è avvenuta in un’area in cui sarà realizzato un impianto di depurazione delle acque reflue della zona. L’antico insediamento produttivo romano. In primo piano, l’area del canale © Frédéric Audouit, Inrap “L’antico sito rinvenuto durante lo scavo corrisponde ad un quartiere artigianale sviluppatosi durante il Primo Impero a sud-est della città, lungo un canale del “Lys”. – dicono gli archeologi dell’Inrap – La posizione dei resti in fondo al pendio sul lato nord del fiume ne ha favorito la conservazione. Erano infatti sigillate da alluvioni legate alle piene del fiume e da colluvioni provenienti dal pendio. L’antico sito è stato così rapidamente ricoperto da uno strato di sedimenti, che ha raggiunto uno spessore da 2,50 m a 3 m, che lo ha preservato notevolmente”. L’isolato artigianale si affacciava da una parte e dall’altra di una strada che finiva sul canale stesso, in una banchina probabilmente utilizzata per il trasporto degli animali e delle merci Ancora più eccezionale è il ritrovamento della bottega di un vetraio che svolgeva, utilizzando il calore prodotto dai forni, anche lavori di piccola metallurgia, con la realizzazione di ganci e altri oggetti d’uso comune, nonché forse, i tacchi metallici che servivano per la realizzazione delle calzature chiodate romane e che sono stati trovati nel fondo del canale. “In questo opificio – spiegano gli archeologi dell’Inrap – è stato scoperto anche un cilindro di vetro blu, destinato ad essere fuso, e, in una delle fornaci, una “goccia” di vetro altrettanto blu. Lo scavo dell’edificio (ancora in corso) ha individuato diverse fasi di occupazione legate ai forni. All’interno dell’edificio erano previsti anche interventi di metallurgia fine. Lo scavo del canale ha restituito una grandissima quantità di scarti di macellazione di ossa bovine. In epoca antica, all’attività di norcineria si affiancavano le attività connesse (conceria, fabbricazione di tavolette, fabbricazione di colla). Qui la lavorazione del cuoio è rappresentata dal ritrovamento, ancora nelle colmate del canale, di numerose scarpe in cuoio con suole borchiate e numerosi ritagli triangolari di cuoio, indizi della probabile presenza nel settore di un calzolaio e di una conceria che, come il macellai, avrebbero usato il fiume come discarica”. Chiavi romane scoperte nel fondo del canale © Patrick Lemaire, Inrap Le poche prove effettuate nel sedimento del fiume hanno restituito reperti abbondanti ed estremamente ben conservati. Numerose sono le monete, i piccoli oggetti in bronzo con dorature, i tacchi chiodati, le spille e le raffinate spille dorate. Sono stati rinvenuti anche oggetti di maggiori dimensioni come gaff (oggetti relativi alla navigazione), chiavi, piatti e aste metalliche. https://www.stilearte.it/tante-scarpe-di-2000-anni-fa-e-laboratorio-calzaturiero-degli-antichi-romani-scoperti-vicini-a-un-canale-era-una-filiera/
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Nel cuore profondo della cattedrale dei re. Portate alla luce tombe merovinge (V-VII secolo) Scavo del massiccio occidentale della basilica di Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), interno, navata centrale, prima campata, scavo del deposito funerario all’interno di un sarcofago merovingio in pietra (VI-VII secolo), marzo 2023. Responsabile dell’operazione: Ivan Lafarge, Ufficio del Patrimonio Archeologico del Dipartimento di Seine-Saint-Denis. © Emmanuelle Collado, Inrap In occasione del progetto di ricostruzione della guglia della basilica di Saint-Denis, uno scavo archeologico preventivo prescritto dal DRAC dell’Île-de-France è realizzato congiuntamente dall’Ufficio del patrimonio archeologico del dipartimento di Seine-Saint-Denis, l’Unità di Archeologia del Comune di Saint-Denis e l’Inrap. La ricerca consente di seguire l’evoluzione dell’insieme architettonico nell’arco di quasi un millennio, di comprendere l’ubicazione dei vari spazi funerari e di caratterizzare la popolazione. “Costruita sul sito di un cimitero, luogo di sepoltura di Saint Denis, vescovo missionario, martirizzato intorno al 250, la basilica divenne una necropoli reale dalle origini della regalità francese poiché la regina Arégonde, nuora di Clodoveo I, riposa, come fare le tombe di 43 re, 32 regine e 10 servitori della monarchia, da Dagoberto I a Luigi XVIII. – dicono gli archeologi dell’Inrap – L’abate Suger vi apportò profonde modifiche nel XII secolo, tra cui il massiccio occidentale e l’abside, facendo di questo capolavoro architettonico un’importante opera d’arte gotica. Fu completato nel XIII secolo sotto il regno di San Luigi. Proprietà dello Stato, la basilica è stata classificata come monumento storico dall’elenco nel 1862. Fu elevata nel 1966 al rango di cattedrale”. Scavo del massiccio occidentale di Saint-Denis, interno, prima campata nord, scavo degli scheletri depositati all’interno delle vasche del sarcofago merovingio (fine V – VI secolo ), marzo 2023. © Emmanuelle Jacquot/Dipartimento di Seine-Saint-Denis Gli archeologi stanno attualmente lavorando all’interno e all’esterno della basilica. “Stiamo portando alla luce un’occupazione funeraria molto densa (sono state scavate quasi 200 tombe), della fine del V secolo con resti merovingi e carolingi, alcuni dei quali anteriori alla costruzione dell’edificio. Le sepolture durano fino alla fine del periodo medievale. Ad oggi sono stati rinvenuti una sessantina di sarcofagi in gesso, prevalentemente di epoca merovingia (V – VII secolo ) e in eccezionale stato di conservazione (il loro numero definitivo potrebbe avvicinarsi al centinaio). I sarcofagi merovingi sono organizzati in file successive ed è stata messa in luce una galleria funeraria. I tini in gesso recano numerose decorazioni modanate alle pareti. Queste sepolture sono organizzate in settori. A volte presentano oggetti metallici che stavano sugli abiti. Questa distribuzione e queste caratteristiche rivelano certamente distinzioni sociali e la presenza di un’aristocrazia e di una popolazione monastica. https://www.stilearte.it/nel-cuore-profondo-della-cattedrale-dei-re-portate-alla-luce-tombe-merovinge-v-vii-secolo/
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Scoperto santuario di Marte, terme e necropoli. Recuperati 755 oggetti tra gioielli e armi. E un paio di scarpe Scavo in una tomba. L’archeologo sta recuperando una collana formata da perline © Françoise Labaune-Jean, Inrap Un santuario dedicato a Marte, alcuni edifici di servizio, attorno, tra i quali terme pubbliche che accoglievano i pellegrini. E una necropoli, nella quale venivano probabilmente collocati i resti di militari, dei loro familiari o dei devoti del dio della guerra. Una scoperta eccezionale, quella compiuta dall’Inrap – Istituto nazionale francese per le ricerche archeologiche preventive – in uno scavo durato 8 mesi a La Chapelle-des-Fougeretz, un Comune francese di circa 4000 abitanti situato nel dipartimento dell’Ille-et-Vilaine, nella regione della Bretagna. Ne dà notizia, in queste ore, L’Inrap stesso. Alcune delle monete trovate durante lo scavo archeologico © Emmanuelle Collado, Inrap Gli scavi Gli scavi hanno permesso di stabilire che il luogo sacro e le sue adiacenze di servizio risale all’inizio dell’occupazione romana e che fu frequentato per molto tempo per essere abbandonato nel IV-V secolo d.C, forse per il diffondersi del Cristianesimo come nuova religione dello Stato romano. Nel 380, l’imperatore Teodosio I impose infatti il Cristianesimo come religione ufficiale dell’Impero Romano. L’attribuzione dei resti del tempietto a Marte è stata conferita grazie al ritrovamento di una statua del dio della guerra e per la presenza di armi e materiali d’armamento (spade, punte di lancia, ecc.) probabilmente depositati per devozione dai soldati. Oggetti di ornamento, braccialetti e perline in una tomba nella necropoli gallo-romana di La Chapelle-des-Fougeretz (Ille-et-Vilaine). © Adrien Etienvre, Inrap Dal terreno sono stati recuperati materiali in ceramica con i quali sono state riempite 35 casse. Sette casse riuniscono una selezione di elementi architettonici in terracotta. Sono stati invece 755 gli oggetti isolati nel campo (vetro, metallo, ceramica). Tra questi, una dozzina di spade di ferro, quattro roncole, alcune spille e numerose armi. Sono distribuiti più o meno equamente tra il santuario che ha consegnato spade e arredi militari e la necropoli che ha consegnato depositi che accompagnano il defunto (vetro, ceramica). Resti di un paio di scarpe borchiate depositate in un angolo di una tomba nella necropoli gallo-romana © Françoise Labaune-Jean, Inrap Terme, case e un’inaspettata necropoli “I dintorni del santuario hanno rivelato la presenza di un edificio termale ad uso pubblico e di un piccolo agglomerato composto da case costruite in terra e legno di cui sono rimaste scarse tracce. Vi sono stati ritrovati molti oggetti di uso quotidiano, compresi vasi in ceramica. – dicono gli archeologi dell’Inrap – Abbiamo anche scoperto un’inaspettata piccola necropoli, composta da 40 tombe. Se gli scheletri erano stati a lungo dissolti dall’acidità del suolo, gli oggetti depositati con il defunto erano ancora presenti. Tra questi depositi funerari: vasi in vetro e ceramica, ma anche scarpe di cui rimangono solo le suole borchiate. Alcune tombe erano più riccamente dotate di ornamenti in argento (braccialetti, spille e fibbie per cinture), oltre a perle di vetro. La tomba più ricca, probabilmente contenente la sepoltura di un uomo, ha restituito un pugnale ed elementi appartenenti ad un finimento di cavallo. Tra questi, un morso in ferro e numerose applicazioni in bronzo che dovevano decorare la briglia e le redini”. https://www.stilearte.it/scoperto-santuario-di-marte-terme-e-necropoli-recuperati-755-oggetti-tra-gioielli-e-armi-e-un-paio-di-scarpe/
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Moneta 2 euro Francia 2001
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In un ritrovamento in Svezia è stata trovata una rara moneta che sarebbe stata coniata in Normandia, nella città Rouen, risalente al X secolo d.C. Secondo il professor Jens Christian Moesgaard dell’Università di Stoccolma, questo tipo di moneta sarebbe stato descritto in un libro del XVIII secolo. Qualcuno ne sa di più ? Grazie
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Spagna e Francia dal 1659 amministrano a periodi alterni un’isola di confine. Un unicum geopolitico Lo strano caso dell’Isola dei Fagiani: l’unico territorio al mondo che cambia nazione ogni sei mesi Sull'Isola dei Fagiani non ci sono i fagiani. Lo lamentava anche Victor Hugo che, durante un viaggio nel golfo di Biscaglia, tenne in particolar modo a vedere quest’isoletta che si trova proprio nel mezzo del corso del fiume Bidassoa, al confine tra Spagna e Francia, tra le città di Irun e Hendaye. Lo scrittore francese scrisse che l’isola non era altro che un «pezzetto di terra verde. Con una vacca e tre anatre al posto dei fagiani: comparse affittate senza dubbio per interpretare il ruolo dei fagiani per la soddisfazione dei passanti». Insomma, non un posto indimenticabile. Ma perché Victor Hugo riponeva così tante aspettative in un'isola alluvionale di neanche 3mila metri quadrati? Perché da quasi quattro secoli l’île des Faisans, come la chiamano i francesi, l’Isla de los Faisanes per gli spagnoli, rappresenta una straordinaria eccezione geopolitica internazionale: è un’isola piccola amministrata in condominio da due Paesi. Accade anche da altre parti, come nell’Artico per esempio, ma l’isola è l’unico territorio del pianeta dove la sovranità non è esercitata in modo congiunto, ma alternato. Sei mesi governa Madrid, sei mesi governa Parigi. Ogni 180 giorni c’è il cambio della guardia, e il 31 gennaio gli spagnoli passano la mano ai colleghi francesi che a loro volta restituiranno l’isola il 31 luglio. Succede così due volte l’anno, ogni anno, dal 7 novembre del 1659. Ovvero dal giorno in cui, dopo tre mesi di trattative portate avanti dal cardinale Mazzarino e dallo spagnolo don Luis de Haro, venne firmata la pace dei Pirenei che segnò una volta per tutte il confine franco-spagnolo. Anche se, va detto, l’assetto attuale dell’alternanza è quello stabilito dal trattato di Bayonne del 1856. All'epoca della guerra dei Trent’anni la scelta dell’isola per tenere la lunga conferenza di pace non fu per nulla casuale. Nei secoli le corone di Spagna e Francia l’avevano utilizzata come territorio neutrale per scambi di prigionieri e incontri di futuri sposi. Nel 1526 François I, prigioniero da Carlo V, venne rilasciato in cambio di due figli del sovrano spagnolo, e lo scambio avvenne qui. E sempre qui, nel 1615, avvenne il fidanzamento ufficiale tra l’Infanta Anna d’Austria, figlia di Filippo III di Spagna e promessa al futuro Luigi XIII ed Elisabetta, figlia del Re di Francia Enrico IV, e destinata ad andare in moglie a Filippo IV di Spagna. O ancora nel 1722, quando la principessa Maria-Anna Vittoria infante di Spagna e futura moglie del re Luigi XV re di Francia viene “scambiata” con Luisa Elisabetta d’Orléans, figli del reggente e destinata ad andare in moglie al futuro re di Spagna, Luigi I. Insomma, l’Isola dei Fagiani è un luogo piccolo ma decisamente denso di storia. Eppure non c’è niente da vedere. Anzi, sull’isola non si può neanche mettere piede. Non ci sono mai stati neanche ponti che la collegano alle due le sponde: all’epoca delle firma del trattato vennero costruiti in legno, poi demoliti. Così come le strutture dove si tennero i colloqui di pace del XVII secolo. L’unico monumento è una stele di pietra che ricorda l’evento posta nel XVIII secolo. Gli unici che ci mettono saltuariamente piede sono i delegati dei due Vicerè che nei fatti amministrano il territorio. Vengono per tagliare l’erba, di tanto in tanto potare gli alberi e vigilare che nessuno si permetta di piantarci una tenda o ancor peggio una qualche bandiera basca. https://www.touringclub.it/notizie-di-viaggio/lo-strano-caso-dellisola-dei-fagiani-lunico-territorio-al-mondo-che-cambia/immagine/2/isola-dei-fagiani
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2 euro francia 1999
Crash72 ha aggiunto un nuovo link in Monete a circolazione ordinaria di tutti i Paesi dell’Area Euro.
Salve a tutti. Stavo cercando di dare un valore alla mia collezione di Euro. Sono arrivato alla Francia ed andando a vedere il valore del 2 euro 1999, FDC, riesco a trovare solo prezzi dai 18 euro a salire. C'è qualcosa che mi sono perso ? -
Buonasera a tutti. Nel "famoso scatolone" ho trovato una moneta, nella fattispecie un franco francese del 1960 che di seguito descrivo: Zecca Parigi, incisore: Louis-Oscar Roty, stato di conservazione: circolata, ottimamente conservata. Composizione materiale Nichel, tipo bordo zigrinato, forma rotonda, ALLINEAMENTO ALLA TEDESCA: medaglia, allineamento conio 0°, peso 6,00 g., diametro 24,50 mm, spessore 1,79 mm. Descrizione diritto: la Seminatrice, emblema nazionale della Francia, circondata dalla scritta: "REPUBBLIQUE FRANCAISE" (Repubblica francese) sotto i piedi in piccolo la scritta dell’Incisore O. ROTY Descrizione inverso: sopra il valore della moneta ”1 FRANC”, ramoscello di ulivo, sotto la data 1960, il tutto circondato dal motto francese: "LIBERTE - EGALITE - FRATERNITE - (libertà, uguaglianza, fraternità), cornucopia rivolta verso il basso, marchio gufo. Chiedo cortesemente a qualche esperto se gentilmente mi sa dire, dalle foto che allego: lo stato di conservazione, il grado di rarità e l'eventuale valore. So di chiedere troppo chiedo scusa anticipatamente, se sbaglio a porre queste domande si accettano, senza alcun problema, suggerimenti e correzioni. Un cordiale saluto Digital
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- assi alla tedesca
- rarità
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Salve, vi mostro queste due monete "1 franco del 1960" (2 pezzi), in quale stato di conservazione sono? Prima moneta: http://imageshack.com/a/img921/2120/N7Q11a.jpg http://imageshack.com/a/img921/3856/Ar4Wx9.jpg Seconda moneta: http://imageshack.com/a/img921/1919/HRW0jG.jpg http://imageshack.com/a/img922/8246/OJ3tKD.jpg
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2€ Francia 2001, bordo olandese!
BartoloM ha aggiunto un nuovo link in Altre discussioni relative alle monete in Euro
Chiedo un parere a chi è più esperto di me. Qualche mese fa trovo una moneta davvero particolare: un 2 francese, anno 2001. La particolarità sta nel bordo: non è quello francese, bensì quello olandese! Ho controllato attentamente tutti i 2 che ho trovato successivamente, non ho più trovato qualcosa del genere. Sapete dirmi qualcosa a proposito? Grazie mille :) A breve vi farò vedere anche una foto. -
Furto al museo di Douai (Francia, dipartimento Nord); articolo con le immagini di monete ed oggetti rubati
mariov60 ha aggiunto un nuovo link in La piazzetta del numismatico
Voglio segnalare questo grave evento che risale al 25 gennaio u.s. Nell'articolo in collegamento trovate pubblicate le immagini delle monete e degli oggetti rubati. Non è improbabile che a breve alcuni di questi oggetti possano essere offerti a collezionisti o ad operatori del settore... https://bnumis.com/vol-au-musee-de-douai/ ciao Mario -
Archeologia in Francia, scoperta la tomba di un bambino insieme a un cane con un collare e campanello Eccezionale scoperta archeologica in Francia di una tomba di un bambino sepolto con un cagnolino nel I secolo d.C., rara testimonianza di un antico rito funebre della popolazione dei Galli. Durante gli scavi effettuati in un sito nei pressi dell'aeroporto di Clermont-Ferrand-Auvergne, ad Aulnat, gli archeologi dell'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) hanno portato alla luce una sepoltura che ospitava i resti di un fanciullo, inumato con una notevole serie di offerte funebri (stoviglie, fibule, anfore, lampade votive, ecc.). Al momento della morte il bambino aveva poco più di un anno, secondo le stime degli antropologi, e i suoi resti erano accompagnato anche da quelli di un cucciolo, dotato di collare e campanello. La scoperta arricchisce le conoscenze delle pratiche funebri gallo-romane legate alla mortalità dei bambini piccoli. "Ciò che è particolarmente eccezionale è che tutti gli oggetti erano disposti intorno ai resti del bambino", hanno spiegato gli archeologi. In particolare erano stati disposti una ventina di contenitori (principalmente vasi e balsamari, piccoli contenitori per oli e profumi) e anche pezzi di macelleria (un mezzo maiale e due galline). Nella tomba sono stati trovati anche un perone e un dente da latte, probabilmente appartenente a un membro della famiglia del piccolo defunto. La presenza del cane, sepolto vicino al bambino in una cosiddetta tomba "di accompagnamento", non è di per sé un elemento di rilievo, poiché questa pratica funeraria era già ben documentata. Tuttavia la scoperta della collana dell'animale, circondata da una targhetta in bronzo, e del suo campanello è senza precedenti. https://www.lastampa.it/la-zampa/cani/2021/01/18/news/archeologia-in-francia-scoperta-la-tomba-di-un-bambino-con-il-cagnolino-con-un-collare-e-campanello-1.39786738
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10 francs 1857
taker415 ha aggiunto un nuovo link in Richiesta Identificazione/valutazione/autenticità
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Parere 1 franco francese 1942
Massimo Di Stefano ha aggiunto un nuovo link in Richiesta Identificazione/valutazione/autenticità
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2 euro francese errore di conio
Ospite ha aggiunto un nuovo link in Richiesta Identificazione/valutazione/autenticità
Ciao a tutti, vi chiedo gentilmente di guardare questa moneta, e un due euro francese de 2012 con un errore di conio molto notevole, il nichel interno sembra essere sparso o mischiato con il cupronichel esterno, su tutti due i lati.. ho fatto una ricerca su internet e non ho trovato riferimenti riguardo questo errore.. qualcuno sa dirmi qualcosa in più? grazie vi ringrazio- 3 commenti
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doppio tornese
AndreaZ. ha aggiunto un nuovo link in Richiesta Identificazione/valutazione/autenticità